Abstract
Chaque minute, chaque seconde, quelqu’un, quelque part dans la ville, participe au grand cycle ordinaire : on mange, on digère et on se libère. Autrement dit, nous « métabolisons », c’est-à-dire que dans les cellules de chacun de nous se déroulent des processus vitaux qui entraînent la transformation de la nourriture. Et parce que chacun de nous métabolise, les villes aussi métabolisent !
Les repas que nous absorbons ne sont que la partie émergée de l’iceberg de ce métabolisme urbain. Comme les individus, les villes dépendent d’un flux continu de ressources importées, dont la nourriture, l’eau, les matériaux (matériaux de construction, téléphones portables, tissus, etc.) et bien sûr les combustibles, qui répondent à nos besoins en électricité. Comme nous, les villes utilisent ces ressources et les transforment en déchets tels le dioxyde de carbone, la boue de vidange, la pollution des fleuves ou les déchets solides déposés dans d’immenses décharges.
Les repas que nous absorbons ne sont que la partie émergée de l’iceberg de ce métabolisme urbain. Comme les individus, les villes dépendent d’un flux continu de ressources importées, dont la nourriture, l’eau, les matériaux (matériaux de construction, téléphones portables, tissus, etc.) et bien sûr les combustibles, qui répondent à nos besoins en électricité. Comme nous, les villes utilisent ces ressources et les transforment en déchets tels le dioxyde de carbone, la boue de vidange, la pollution des fleuves ou les déchets solides déposés dans d’immenses décharges.
Original language | French |
---|---|
Journal | Le1 hebdo |
Volume | 2015 |
Issue number | 54 |
Publication status | Published - 2015 |